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, Présentée comme telle, cette définition assez vague signifiait aussi l'existence d'une palette de professions qui inclut les techniciens de l'information, les programmeurs, les analystes, les chercheurs, ingénieurs, les écrivains, les journalistes

H. Davenport, 83 les chauffeurs de taxi, les vendeurs de ticket de cinéma et autres. S'il est vrai que ces travailleurs doivent en savoir plus que les autres concernant leur travail observe -t-il, la connaissance occupe une infime partie de leur travail et cela ne constitue pas l'essence de leur travail

J. Dans-la-littérature-professionnelle, Bouchez 84 les définit à partir de ce qu'ils font et pour qui ils le font ; c'est-à-dire la production et la vente de prestations intellectuelles auprès de la clientèle

«. Société-du-savoir and ». , 159) décrit ces emplois comme ceux qui se développent autour de la production, de la transmission et de l'application des connaissances. Ce sont des emplois détenus par ceux qui acquièrent, manipulent, organisent, régulent et communiquent la connaissance, et donc pour qui la connaissance est une force productive immédiate. De façon plus précise, selon N. Stehr, ces emplois désignent la capacité à résoudre des problèmes, une capacité à aider le client à comprendre son problème et la capacité à satisfaire le besoin par le produit adapté. Pour R. Reich 86 , les travailleurs de cette économie dite du savoir sont des « manipulateurs de symboles ». Une telle approche désignait les chercheurs, les informaticiens, les avocats, les financiers, les consultants, les journalistes, les réalisateurs, les publicitaires? Quant à, celle que les auteurs ont qualifiée d'économie de l'information, de l'immatériel, de la connaissance ou du savoir, vol.85

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, soit : les services rendus aux entreprises ; les services rendus aux particuliers ; les activités mixtes (hébergement-restauration, activités immobilières et information-communication

, Toutefois, les services dans leur sens le plus large, généralement donné par les angloaméricains, désignent en fait les activités tertiaires qui comprennent : -Le tertiaire principalement marchand (commerce, transports, activités financières, services rendus aux entreprises, services rendus aux particuliers

, Le tertiaire principalement non-marchand (administration publique, enseignement, santé humaine, action sociale)

, 18) propose la défiition suivante : « Une activité de service est une opération, visant une transformation d'état d'une réalité C, possédée et utilisée par un consommateur (ou client, ou usager) B, réalisée par un prestataire A à la demande de B, et souvent en relation avec lui, mais n'aboutissant pas à la production d'un bien susceptible de circuler économiquement indépendamment du support C ». Sa conception est assez descriptive. Elle permet d'identifier les parties prenantes qui rentrent en action et en interaction dès lors qu, En sciences de gestion, au-delà des questions de définition et des frontières, vol.89

T. H. , Davenport pose les questions de savoir comment manager le gisement de connaissances individuelles ? et pourquoi ces travailleurs sont-ils si importants pour les économies modernes et particulièrement pour les organisations du savoir ?

J. Gadrey, Socio-économie des services, Editions La Découverte, collection « Repères, vol.ISBN, p.9782707139511, 2003.